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quand j fume ma weed, les condés veulent ma peau, et m envoyer au cachot
hors de question que je leur file plus qu un mégot, à ces nabots
si ils réclament mes papiers, je n ai que mes ocb,et pas question de faire tourner
je les laisserai pas éffriter ma weed, comme ils font avec nos libertés
babylon s'est fait mettre sous cage
si tu passes pas entre les mailles, tu risques le naufrage
on a plus le droit à rien, par contre les dirigeants multiplient les abus
pas grave, ils sont protégés, au contraire des faibles, bons qu à être inculpés
l empire nous veut chévre, pour nous étaler et tartiner,... chez lui,y a les tartes,inné
tout nous est prohibé, on nous déroute pour nous voir nous planter sans germer
pas de fleur ni de couronne pour accompagner la gerbe que me procure notre hiérachie
de hier a aujourd hui, on chie de plus en plus sur notre démocratie
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du mal a faire confiance
empli de méfiance
on perd la danse
dégénerescence
on perd pied
noyade débutée
puis une main se tend
nous sort du néant
cette main, je l ai peu vu
trop de gens m ont décu
y a eu ma mére qui me l a donné
et un mec, un vrai, énorme de bonté
c est de lui que je viens te causer
jamais je ne l oublierai, il a trop assurré,
je le connaissais grace a une boite qu j avais créé
des repas, des échanges réguliers
des passages dans sa famille, à m enchanter
lui le mec bien rangé me considérait pas comme un canard noir
il regardait sous le vétement, au contraire de plein de batards
il avait peu de temps, et m en accordait
surtout un jour ou un malheur dans ma vie s est passé
ai cessé mon activité, j allais vriller en complet dérapé
lui m a redirigé, apporté et écouté, ainsi que du financier
il m a aussi et surtout redonné l envie de vivre
m a permis de me dénouer, que je me délivre
lui, sa femme, sa fille, je leur garde une place dans mon coeur
grace à eux beaucoup d idées noires se sont évaporés vapeur
puis, je suis retombé, autodestruction commencée
pour ne pas l attrister et abuser de sa gentillesse, j suis passé en mode caché
des années de dérive, des villes et histoires variées et avariées
et a present, je me retrouve, renforcé, avec l envie d exister
je resouris même à présent, j ai voulu l en informer
et c est entre autre grace à lui, a jamais il m a marqué
à présent je sais qu il y a des gens vrais, et lui en fait parti
je le vois a mes yeux comme un exemple, et lui répéte merci
à mon tour ,un jour, j espére pouvoir le dépanner
que ca soit pour protéger sa famille, ou même son jardin à bécher
ramin..merci, pour toujours, tu resteras pour moi l amicontent d avoir réentendu ta voix, j espére qu on refera vite croiser nos vies
ce texte est en premier jet, mélant encre et pleurs, et restera ainsi j pense
du direct non travaillé
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je léve mon ver au plus haut
et je l'éclate dans la gueule des collabos
mes vers, au contraire de moi, vont percer
attendront pas d'être sous terre pour asticoter
je me laisserai pas astiquer par des faux as tiquant
mon jeu, je ne l'abaisserai pas,je m'en branle de leur brelan
les dés sont lancés, à chacun de prendre ses cartes en main
si il y a maldone, faut faire avec, vla le brin
mettons carte sur table, la partie n est pas gagnée
à tout moment, le game over peut débarquer
échapper aux jeux truqués est l enjeu
sinon, on sera mis au tapis par l odieux
tant pis, c est le seul truc qu on poura encore dire
j sais bien qu il est trop tardil aurait peut être fallu qu on essaye avant de réagir
victime et coupable de notre destinée, on en pers nos atouts
de tréfle, on se torche, à s'en mettre au carreau sentant la bouche d'égout
ces rats veulent me ronger, en ferais bien un ragout
pas grave si ils n ont ni saveur ni gout
l'essentiel, c est de les griller et les voir partir en fumée
je fus, mais je veux encore être, laisse mon être s exprimer
sur un fond de basses, j aggrave les graves, dans une folie aigue
j aiguille vers quoi? bonne question, je ne sais plus
que ça t ait plu ou déplu c est la même pour moi
tous pour rien, et chacun pour soi
je tisse mes vers, comme de la soie
d'une poésie, qui dans l ironie a foi
je renie tous classiques, je privilégie l'excentrique
l écriture intuitive, jeté boulet, c est ca qui m donne la trique
dans mes couplets, je me fous du conformisme trop laid
ma démence ment pas, elle veut, au plus loin, les limites pousser
tel un petit poucet, elle séme des bouts de folie sur la route de la vie
au fil des ronds points et interdits, elle dévie ou rugit
à la maniére d un lion face a babylon, j'observe tel un vieux sage
attendant le bon moment pour débuter le carnage
ma lutte est pacifique, mais pour avoir la paix, faut d abord régler des hic
pour l instant le constat est clair, notre devenir carresse l'état critique
état de non droit, ou l on ne cesse de se prendre des droites
les politiques des extrémes demeurent gauches, pas du tout adroites
je sais que la politique, toi aussi ça te tique
si tu t y intéresses pas, c est comme ça que le pouvoir te nique
d aprés des censures mes mots dits sont maudits
ça leur déplait que je me sois construit sans permis
y a des choses à dire et d autres à taire
perso, j aime tout faire à l envers
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assis sur le bord de la vie, je vise le sommet de ses branches
je garde racine, tout en faisant gaffe à ne pas, qu on me débranche
cette existence est un miroir aux alouettes, rien de chouette
la routine me klaxonne de son pouette pouette
en poête, face aux claques qui sonnent, je réponds a coups de sonnets
des vers cons sonnant ce qui me voyelle, enchainant les déchainés
des déchets nés ou morts, mordant mon excistensiel
les dés de la vie, mentent , à virer démentiel
la populace en a mare, et se noie , dans l amére. .t'humes, blasant
les princesses se font chocolater par des faux princes, sans croustillant
la fée profit , telle une pro se tâtant, nous dévie à qui mieux mieux
le monde n est plus franc, juste euro et malheureux
mâle et femelles perdent semelles, ils n arrivent plus a prendre leur pied
trop abusés par des pieds nickelés qui les ont déchaussé
la confiance s'en trouve échaudée, pleine d ébullition
on coince la bulle chacun dans son coin, s isolant par protection
l isolation n'empêche pas les courants d air, et les torticolis
des torts mettant en colique, pas toujours alcooliques,pleins de dépit
le conformisme nous biaise, va s y mouton résonne en diéze
la différence et le regard de l autre, rendent mal à l aise
pour pas te faire canarder, marche dans le rang, ou on te considérera comme un canard noir
ce trop de lois, nous pétant tel un pion de jeu de l oie, me crée des cauchemars
ai rien d un hors la loi, et je refuse d être un hors liberté, prêt a foutre des droites pour protéger mes droits
l expression libre, c est ma came, je ne la laisserai pas taire, en elle j ai foi
a l heure actuelle, il est encore autorisé de penser, si tu oses, on te fera braire
sur des secrets d état, sur des tabous, sur des dysfonctionnements, on oblige à se taire
controle des médias sur la masse, lobotomisation à la big brother par notre état totalitaire
face au liberticide et l inhumanité ambiante, à cran d arrêt , montent mes nerfs
je rêve d un quotidien moins male sain, mâle le suis, par contre pas saint ni pieux
d ailleurs un pieu, il m en faudrait pour éviter d être vampirisé par des dirigeants odieux
j aspire à un univers plus simple, ou le strass et paillette ne nous infecteraient plus autant
ou le respect de l homme et de la nature, seraient mis en avant
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nos politicars sont loin d etre des mr propres
avec leurs directives, je trouve peu d'accords
toujour plus nous interdire, c est ça leur délire
j'en pousse des soupirs,et des barriéres;en pensant à l'avenir
sans art, on nous rentre dans le lard, ça m fout le cafard
on nous impose des réglements, à s'en tacher de papier buvard
tout est prohibé, nos crocs en claquent, comme les portes des prisons
si t es pas dans le politiquement correct, pour la moindre dérivation, c est condamnation
si tu circules pas dans les clous, on te foutra au caniveau
des cas sans niveau, tentant de mettre en place un état facho
les barriéres de plus en plus se ferment, pour respirer faut recourir à l effraction
plus rien en correlation, des régles en inadéquation
tel un oiseau, je cherche à dépasser les nuages
reprendre le gouvernail, ne pas accepter le naufrage
je tourne dans ma tête sans réussir à m en sortir
des fois je pleure, en pensant ce qu on laisse aux gosses pour l avenir
je n en peux plus de ce trop de rigidité, de tous ces gens aux gueules d enterrement
ils sont conditionnés, faut pas se mentir, des pantins ficelés à un régime décevant
envie d entendre des rires d enfant, de voir les visages s illuminer
de bouffer la vie à pleines dents sans m'édenter
je serai sans doute jamais riche, ça je le sais
mais ça n' empêche, que cette vie, je veux en profiter
avec naturel et smile aux lévres, je viens l embrasser
dans les flammes, je ne me laisserai pas embraser
les rouages de notre systéme sont rouillés, trop tard pour les réparer
faut les détruire, por rebatir les bases d'une nouvelle société
mes idées me ré..voltent à la masse, je crête haute tension à dans mes réflexions rayées
loin d'être gai, je pagaye, à la recherche de l amare ou je m'accrocherai
je sais que je ne suis pas une lumiére, mais je veux que mon existence s'étoile
mare de me noyer dans cette fashocratie, mettant mes droits à poil
des mots crachés au peuple pour l'embobiner; et perdre fil, sans l aiguiller
je te dépose ça ,de maniére tout décousue, pour t expliquer que tout ça ça m a troué
si rien ne change, un jour, tu veras, ça pétera
de maniére réfléchie ou non, c est l avenir qui le dira
en attendant je fais vombrir la basse,pour ne plus entendre les rapaces qui me tracassent
méritent que des bastos au cul, faut s'arranger pour qu ils se cassent
joyeux pirate, je corse l'air, sabordant les bonnes régles établies
ma poésie en vagues abonde vagabonde, mon registre est insoumis
loi de me prétendre messie, juste j en chie, et je veux passer à autre chose
le présent, doit comme le passé composer, en dehors du morose
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