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trop de sang a coulé
trop de misére à oublier
pas facile à dépasser
mais, c est neccesaire d avancer
ne pas oublier le passé, mais le dépasser
depuis peu, j soigne mes taciturnes pensées
je ne veux plus de sang dans mes cauchemards
je ne veux plus perdre l espoir
dans cette vie, j ai dégringolé
y en a peu qui m ont aidé
un merci, je leur adresse
à présent je surmonte ce qui me blese
ma rage vit toujours en moi, j vais pas mentir
mais j arrive enfin à l gérer, à me contenir
la vie mérite d être vécue
faut torcher ceux qui nous chient dessus
se remettre en question, assumer, savoir s excuser
apprendre à voir le beau, et se méfier du mauvais
avancer, non reculer, ne pas fuir, vivre
se débarasser du terne en tête, pour de bien être en virer ivre
être à l écoute de soi et des autres
ne pas se cloisonner et se bloquer des portes
la vie peut être belle, suffit d y travailler
l amour et la solidarité, c est ça qui peut nous sauver
depuis des années, je grogne face a cette norme allitée
pas bad boy, mais contestataire, n arrivant pas à s intégrer
pour un rien, je prenais la perpendiculaire, et trébuchais au fossé
a présent je muris,m envolant en parralléle, plumer ma destinée
mon destin, je le prends en main, et pas comme un vulgaire jeu
un voyage vers un réel bonheur, voila l enjeu
une existance ou j autorise mes rêves à exister
mon principal, demeure communiquer et inviter a cogiter
j'essaye d ouvrir des portes a des interrogations, parfois dans des pics de ronce
ma recherche, secouer vos neurones et vous inciter à trouver vos propres réponses
moi j en ai pas à vous proposer toutes faites, c et à chacun de maitriser son destin
ai rien d un saint, d un gourou, ou d un shaman, je me révéle être juste humain
mon éducation, et la vie , m ont appris envers à des fois tendre la main
par contre, je ne porterai personne, ai pas les épaules, et pas l intention de me planter dans le chemin
j aimerais tant un monde autre, qu il existe hors de l utopie et de la poésie
je reste persuadé qu on peut vivre autrement, avec de la joie a haut débit
des fois, je peux paraitre barré par mon élocution
pourtant mes mots, même si ils sont incisifs, découlent de réflexion
en rime, je splashe et clache des idées préconçues et des doutes
et si je choisis une écriture est provok actrice, c est juste que si je cause tout doux, peu écoutent
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y en a , ils me trouent le fion
à me monter en irration
des rebelles à deux balles
loin d etre de la balle
face à toutes leurs incohérences, je glousse
de ces indépendants appelant toujours maman à la rescousse
trop de conneries sous carapace, ça les rend rapace
à trop vouloir se protéger, ils ont viré crasse
en permanence, ça aboit..allez bois et dans ta merde, noies toi et tais toi
enfin être toi, comme beaucoup t y arrives pas
a voir comment ça se gére, ça m indigére
les sans paroles déblatérent, à cramer enfer
on leur donne la main, et ils tentent de prendre le bras
ça péte pas haut, et ça vole bien pas
des petits pions croyant que le monde sera à leur disposition
ils se révélent loin de la pole position, en décomposition
un merci, ça ils connaissent pas, au contraire de l hypocrisie
se plaindre et faire semblant de s assumer, c est ça leur vie
on sait qu ils auraient pu être biens
mais bon, préférent se la jouer chiens
plus d un cas comme ça s en carrosse
à se bouffer la moelle, et la cote à l os
si partout on les rejette, doit y avoir des raison
vla les dégénérés de notre génération
tout s exuse, mais avec des limites
pas quand ça se passe en mode repeat
yorkshire se prenant pour un pit
pit..oyable, qui gravitera pas aux hits
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de tous temps, notre nation a été régie par des dirigeants
des gens censés être là ,au service du peuple, le protégeant
mais est ce pour notre sécurité qu ils veulent nous enfermer
nous priver des droits et libertés, qu on avait
au fil des temps, c est de plus en plus décevant
tout est sous contrôle de cons de trolls, nous abusant
le systéme est blasphéme, il nous veut à sa merci
modifiant sans cesse la constitution, pour un rien nous accuse de délit
lié à une société aux engrenages rouillés, on dérouille
sans s'allier aux despotes, on vire fou à lier, ils rendent maboule
j'en demeure comme enchainé, à un quotidien trop verrouillé
les gens se renferment, se condament, sans référé
ferré à une société de consommation et d abomination, on perd pied
béquillé par la fée du profit qui fait chier, et nous rend mauvais
comme au casino, la seule chose à laquelle on pense, c est le jackpott, on oublie les potes
des compotes sucrant à tomber dans les pommes , volant à la roulotte
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dans la vie, y en a de toutes les couleurs
des bons moments, comme des douleurs
des souvenirs passés, qu on ne veut plus repasser
d'autres au contraire, à répétition, on aimerait les visualiser
l'existence est pleine de repeat, des fois je cherche le bouton stop
mon ton de mouton boue,...,braquée au carrefour,la déraison résonne et chope
j'entends les basses qui tabassent la masse et la crasse
les gens bons, s'en font rentrer en matiére grasse
pris en couenne, comme des cons, loin des mages, la majorité larsenne
le lard coule, comme la haine, sans art ni scéne, c'est rengaine
les arbres s'en déracinent, à se péter la souche et sous couche
des cruches mouillant d'infâme, nous douchent
zero classe, à déclasser pour éviter l'invendu avec ou sans vent du
trop bonnes qu'à se la péter, montant pas plus haut que leur cul
un pet de travers, et ces travers de porcs dans le string déportent
rongé jusqu a l os, par un pouvoir voulant nous écraser tels des cloportes, on se clot des portes
les blattes errent pendant que l'inhumanité déblaterre
on se fait bien avoir dans la chanson, puis dans l'air
on tente d'écraser le cafard, retrouver la clairvoyance d'un phare
on ricoche, dans la mare..au diable, en évitant les cauchemards
nos songes nous rongent...souris pas, car les rats content pas
pas à pas, dans un trait ils trouent le gruyere...on s'alligne au trépas
pris en souriciére,on tente de passer les barreaux, sortir de cage
avec cette optique dans l'objectif,sans négatif, on se revéle prêt, à tourner plus d une page
pas toujours sage, mes passages plument et allument
des pas encrant de la force d'une enclume qui écument
mes écrits bronzent hors du rang, pour ne pas qu ils s'enrhument
face à eux dans les prés..jugés, les cons.promis s'en fument
des fumiers qu on poste au compost pour pas s'en infecter
à mettre avec les déchets qu on ne pourra pas recycler
le cycle de l'existence s'en pédale et déraille
des railleries comme des connes rient, aie aie aie
c'est le monde de la maille, plein de canaille, pires que des missiles rafale
pour des écus, ton cul peut se faire vendre par un morfale
la mort,j l'entends trop causer, pas pressé de la croiser, chez elle ça caille sévére
j préfére de l'amour et de la joie afin d'inspirer mes vers, et sortir de l hiver
je me mets la tête à l'envers en vers, je contre tout
la poésie de ma peau hésite pas, pas de tu tu, mais elle s y voue
si ,être heureux se révéle être un crime, je me livre comme condamné
con damné par cet univers des sous, ou on oublie d'aimer
2 commentaires -
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L'argent facile tente
Plus d'un sombre sur cette pente
Face aux difficultés, l illégal n est pas la solution
Vol, deal,ect, fais gaffe, si tu ne veux pas tomber sur la case prison
Marginal , mais pas bandit, c est ainsi que je vis
Je couche mes mots, comme une princesse au lit
Mon élocution carresse et s insére profond
Je claque mon expression pétant des gonds
Poête et cracheur de mots, on me prend pour un fou qui rime
Pour certains, m'étaler en textes, semblerait passer pour un crime
Multiplier les vers, pour les asticoter, demeure une nécéssité
Le moyen de me déverser et ne pas imploser
Je ne sais plus quoi faire, du mal à me calmer
Déçu par la plupart des gens, j préfére dans mes lignes me réfugier
Trop de cons me causant confiance m'appellent à la méfiance
Des amitiés s en cassent, comme des relations, suite à des mauvaises trances
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