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le tiers monde va mal, pour pas changer,
a force, l impression qu on en a plus rien à taper
on ne cesse de le saigner de ses ressources naturelles
pas de songes pour son bonheur, mais des mensonges démentiels
le riche fait semblant d aider le pauvre pour mieux le voler
si tu réfléchis à ça, t as envie de distribuer des vollées
et de claquer plus d une porte qui déporte
un autre monde doit se construire, faut pas qu on reporte
à l heure actuelle, le fmi n a pas la cote,nous baise dans la crise
on en cloture le respect des valeurs et devises, société démise
la banque mondiale fait partie du complot
les dirigeants sy allient aussi , des salops
dans cette histoire, des dessous de table
qui atteriront dans les poches de notables
regretable phénoméne répété
et devant ça , on se tait, normal, pas ouais
le peuple d en bas est abattu
celui d en haut ne vise que son cul et ses écus
certains bouffent des pattes, et devraient donner la leur
tandis que d autres s empiffrent à toute heure
société alernée rêvant d altermondialiste
de plus en plus de méfaits en liste
j m en gratte les fesses en réfléchissant à tout ce" qui blesse
y a plus d humanité,hantise, la bétise nous aggresses, j en tise et régresse
l économie mondiale délire
les multinationales nous font fléchir
on nous impose une alimentation tchernobyl
je m en échauffe, les watts montent,les bas resillent
la politique me tique critique par ses incohérances
des corrompus avec qui, il est dur d accorder sa danse
l esclavage est aboli, beaucoup l ont oublié, voulant devenir maitre
mine de rien, ça fait un moment ou on a commencé à bien nous la mettre
face à ça,mes mots ralent
trop de manque de morale
faudrait ouvrir les yeux, mais compliqué
car au fil des temps, on nous a bridé
privé de lumiére, on trébuche dans le noir
la tête remplie de peu reluisant qui décoche..marée d idées noires
des cloches, c est pour ça qu l autorité nous prend,ça alarme t y méprends pas
j en déraisonne, dans la vibration résonnant, avec fracas
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je cogite, neurones en orbite, je ferme mes yeux, pour mieux voir,
pour ne pas être trahi par l illusoire qui ne brouille pas que des oeufs
j ouvre les écoutilles de mes oreilles, et de mon coeur
tout en les protégeant des marées noires, nous baignant de rancoeur
j observe cette humanité de l intérieur, sans prendre trop de hauteur ni de sécateur
parfois, je l avoue, elle me fait peur, y a des têtes que je couperais bien, mettant en torpeur
beaucoup de faux amis qui compotent dans leur comportement , moussant comme un demi
ils mettent en pression,pétant le fut, n infusant aucune attention en débit
je les observe , ces chiens ceux se croyant gens bons, virant gens bêtes
ça m embête de constater qu en permanence, des autres, ils se foutent de leur tête
aimer ils ne savent pas, savent juste se torturer et se faire mal, abusant fatal
sans s en rendre compte, dés que tu leur offres ta main, ils prennent ton bras, et trouvent ça normal
en retour, n espéres pas grand chose d eux, limite des fois, quelques tracas
leur vie , c est du n importe quoi, aucune gestion, vla ce que ça engendre en fracas
ils pouraient être biens, mais y a un truc qui les ronge, leur manque de confiance
un manque envers les autres, mais aussi envers eux même, raison de beaucoup d errance
ils réfléchissent à quoi s arrimer, mais dur, vu que leurs bases sont ébranlées
famille décomposée, amour détruit, perte de personnes chéres, leur existence, parait etre un cauchemard réveillé
le train train de la vie, les rend vapeur, ils déraillent, perdent voient et direction
autrefois, en mode accéléré, ont tenté de murir trop tot, puis sont tombés du mur, a present ils puent la décomposition, putréfaction
les gens farandolent dans un non respect de parole, c est le bal des putins et des langues de bois
parfois envie d en bucheronner, pour ne pas péter mon tronc d effroi
mes branches ne casseront pas, et je me plierai qu à la force des éléments
face à tous ceux,tentant de me trancher les racines, je deviendrai en vers luisant, coupant
trop attendu que les étoiles embrassent le soleil
que l on m offre des ailes, pour m envoyer dans le 4eme ciel
que l ozone voit sa couche changer, car l odeur nous a trop empesté
a présent mes visées changent, objectivant le respect et la simplicité
le simple se tait trot, la trotteuse de ma montre s en désaiguille
le monde s habille d illusion éphémére, mauvaise pêche qui anguille
les truites débitées, en oublient de remonter le courant
j en secoue mes nageoires, pour pas couler, je nage a contre courant
dans ma tête, la brume, ça fait un moment que je l ai oté, pour nettoyer mes visions
un tri permanent, j ai commencé, face à ceux qui nuagent sans s en excuser, puis fuient en lache dans l horizon
l amitié, le respect, la solidarité,sans eux, on s envoie a l abattoir
beaucoup l ont pas compris, s isolant tel des poires, dans le désespoir , et se la jouent batardsdam
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