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une fois de plus, je marche dans mon encéphale
pas à pas, et mot à mot, je m emballe , en rale
je réfléchis, sans fléchir, j inspire, j expire
je respire,me questionne sur mon devenir
à deux..venir, oops, dsl moi suis viendu en solo
une partie de solitaire, à me gratter le ciboulot
si,si, c est du boulot de remuer ses méninges
ça me met en essor, et pince à linge
la vie manque d adoucissant, elle me grotte ,calcaire
monde des copier coller qui se calquent, respect qui se perd en impair
les légumes ne cessent de se faire éplucher assaisonner
la population n a rien de bio, toute poellée
saut de mouton raté, la gueule au sol
c est ni de la bombe, ni de l aérosol
je m en graphe et dégraffe
dans le vice m aggraffe
le laid, on l hume, et il nous monte au nez
on nait pour vivre, et on pense qu a crever
la vie pourait etre du gateau, mais elle nous farine
erreur d ingrédients, contamination de la routine
faudrait qu on soit tous et conformes
l état formate nos chromosomes
je t informe, qu il nous déforme
loin d etre reluisant comme le chrome
la culture sans jachére,se déclasse, pour des liasses
haute manipulation des masses
le jt spectacle, les émissions pour demeurés
les artistes papier maché, se multiplient
on vire tous vendus, le profit nous baise
certains pensent qu il n y a pas que la maille, rendant à l aise
écouter les autres deviend denree rare ,comme les ressourcelles naturelles
nos boursent se secouent, atention à la détonation si y a étincelle
notre nation ressemble à une meute de roquets mal dressés
ça grogne, ça aboit, mais au final, c est bon qu a desus, se pisser
le monde, un théatre plein de guignols , il tape plus que trois coups
de plus en plus de bouffonerie dans le scenar, il met a bout
on se fait piner, en fermant le yeux, et hop un peu de pinard pour oublier
le peuple est sous....respecté, mais bon être à la baguette c est bien francais
on ne cesse de se prendre des pains, et des coups de boule
j en divague dans ma houle
dans le champ de la désilusion, on manque d engrais
de grés ou de force, ça écorce, et coule, faut écoper
en écho sourd , au loin, on entend la liberté tenter de s exprimer
mais bon, ca fait un momenr deja qu elle se prend des portes au nez
déportée par des porcs, trop bateau à voile
on s en désosse cote a moelle
notre quotidien nous semble nuit sans étoiles
autonomie en anorexie, on nous fout a poil
face à ça, j vais pas prendre deux doigts pour gerber
juste un, pour en l air, bien droit le dresser
mare de ttes les guegueres et intifada
la populace deviend fada
des clowns extremisment leur haine
hors pistes, se mixe dans un scratch nos rengaines
incarcéré à l existence, je cherche l'évasion
la porte ouverte à un univers plus de passions
dans les barreaux de la méfiance
s est plaquétée la confiance
plus d un mefait cadence
et on voudrait qu malgres tout j en danse
trop de taciturne qui passe et repasse, comme des pétasses
plus d un sans trait, en trépasse, et se déclasse
clashé par une politique qui nous fache
avec mes vers, je l harponne et la clashe
j aimerais tant voir bondir les coeurs
que la joie de vivre chante en choeur
que dans l amére, on ne cesse de se noyer
que dans les cieux, on puisse s'élever
j aimerais tellement voir les larmes se tarir
que rayonnent les sourirs
...mais bon, je vois que des soupirs
et des gens saouls de pir en pir
l inhumanité vampire
y a de" quoi maudire
la vie manque de bouquet
à chacun de se prendre en main pour l arroser
retrouver le plant et le pied mére
se rendre compte qu le bonheur est encore possible sur terre
pour le remarquer,pas besoin de méditer au monastére
je touche pas du bois, et coupe pas de stéres, mais en ai soupé de l austére
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un noir, aux mains blanches
enfant d'immigré, sur notre sol, il a poussé
français, comme l indique sa carte d identité
ses parents pour notre nation se sont éreintés
pour cette terre d accueil, en laquelle ils ont tant espéré
éduqué en bon citoyen, il ne représente pas la vermine
pourtant beaucoup, à sa couleur, tirent grise mine
ça le crayonne, qu on n accepte pas ses origines
trop qui fachent haut, voulant lui tailler la mine
il se sent le canard noir, fuit par ses semblables
même si il dresse pattes blanches,et n'a rien de méprisable
ils l'embêtent ces gens bêtes, qui l'animent mal
il réclame le droit à une existence moins à la remballe
il bosse,paye ses impôts, participe donc à l'effort finançant le pays
ça ne l empêche pas d'être jugé, comme si il avait effectué un délit
gazé pour crime de faciés et controllé à tort, ça le rend triste
pointé d un doigt fusillant par des extrémistes
des fois le négre, comme on l appelle, a envie de les rééduquer
notre langue, et notre histoire, parfaitement il les connait
pendant que des petits blancs glandaient, lui il étudiait
sportif et baraqué, il pourait leur en mettre une, mais refuse de s y abaisser
ses parents et sa religion le poussent à pardonner, et au respect
ah oui, il est pas saint, ni malsain, mais musulman non intégriste , intégré
de ses origines il n' a pas honte, au contraire, en est même fier
il refuse d être soumis au blanc, veut juste être son frêre
à ceux lui disant de retourner dans son pays, il leur répond que chez lui, c est ici
la stricte vérité surtout qu au bled, on le classe occidental donc gaté et pourri
sa vie est un combat, celui de lutter pour qu on l accepte en tant qu être humain
tout ce racisme l indigére, ça le blesse qu on le classe par race, tel un chien, faut que ça prenne fin
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mon coeur est vagabond
il s'éclate dans les rebonds
phénoméne de notre génération
il se décompose en dégénration
du mal à me poser, trop de passé composé
à me coller comme à décoller dans des relations faussées
des sentiments envolés à l étalage, en carnage
l amour se brade-rie pas,y a sabordage
les relations à vie , deviennent denrée rare
au contraire des taxes en forfait illimité, ça décoche..mare
y a plus qu en hifi, ou on a encore de la haute fidélité
cupidon,nous a oublié, sans doute resté dans un troquet
l'infidélité se banalise, comme les crimes d humanité
les princes virent crapauds, juste bons a baver
les princesses , elles, font tomber des nénuphares
dur de trouver l'être élu, c est trop la foire
on s accouple pour des histoires de baise
une peur de s attacher à un compagnon qui nous biaise
l'amour, trop le cherchent à coups de click, trouvent ça pratique
pour finir au clic clac, en rhytm' nique, avec la prémiére venue,si monte la trique
mets ton antivirus, car tu ignores qui tu pokes
peut etre un partenaire plein de mst, qui te le cacheras car de toi il se moque*
des fois je me dis qu'être assexué pourait être une solution
mais mes hormones le refusent, et hurlent non
j envisage pas une vie sans sexe, ce serait blasphéme
et j adhére pas à la phrase soulage toi, toi même
une bonne amante vaut mieux qu un compagnon relou
mais bon, si un jour je réussis à reaimer, ça me ferait un bien fou
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j attends .........j attends , encore une fois
j attends ..le train du bonheur..j attends de retrouver entrain et foi
j attends que la politique avance...
j attends qu on cesse la décadence...
j attends que les arbres quittent leurs racines
j attends que les poissons s envolent hors routine
j attends que les fleurs ne perdent plus leur bouquet avec le temps
j attends, toujour j attends...j attends, j attends
j attends une attente pénétrante comme un tampax
j en oublie l echelle du temps, je perds axe
j attends, que la lune s accouple au soleil
j attends que se projette un autre existenciel
j attends, mais tout fout le camps, moi j attends
j attends, rien ne change, j attends, j attends, j attends
j attends de meilleurs lendemain, que notre gouvernemain nous mente moins
j attends le jour ou on se prendra en main, j attends, et j en ai mare putin
j attends, et ceci depuis trop longtemps, j attends
j atttends,ça me tend, satan à notre porte, nous tentant
j attends, un quotidien moins soupirail
j attends une joie de vivre sans faille
j attends, j attends, j attends; j attends, j attends
j attends,ça me prend tout mon temps, me descendant
j attends le moment, ou j oserai reprendre pied
j attends, pour ne plus me faire nickeler
j attends que la marée monte
j attends que cesse la tonte, et la honte
j attends plus de sourires à partager
j attends un retour à la solidarité
j attends que l homme redevienne humain
j attends que cesse les coups de putin
j attends, et ça commence à me saouler
j attends,tension overdosée, j attends
j attends la fonte des glaces
j attends le réveil de la mase
j attends que les coeurs battent en choeur
j attends que cesse ce qui m ecoeure
j attends que l impossible devienne possible
j attends qu on ne cesse de nous prendre pour des quilles
j attends, j attends un autre destin, moins decevant
j attends, et j ecris en attendant, ça me détend, et j attends
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penser, c est désobéir
ça me fait frémir
pas de quoi en rire
j en soupire
la nation panique
en france état critique
j en crie tant ça me tque
notre politique m fait perdre la trique
tout se flique, surveillance surgénéralisée
on s fait étiquetter monde de code barrés
pas de sacré numéro, mais des manies qui pullulent
comme des manipulations pointant virgule
tout le monde a peur
bientot, on gémira en choeur
vu comme on deviend,y a des perspectives en psychiatrique,
on est pris pour des moins que rien,par l autorité sans étique
le bla bla et les discours , ça, ils connaissent
mais saches qu ils ns baratinent que de fausses promesses
en pleine graisse, ils nous aggressent
y a pas que jah que ça blesse
verdict d une évolution ayant dérivé
sans jugement, on s est fait condamné
france, ex pays des droits de l homme
à présent on s y prend des droites, par la norme
plus on nous enchaine, plus j en perds la chaine et fréquence
de toutes façons, sur toutes, c est la même, censure à outrance
on te dit ce que l on accepte, qu tu puisses savoir
on te claque des images chocs pour te montrer ce que tu dois voir
on te cache les vérités, y a pas que les illuminatis qui illuminent de mensonge
sans que t en rendre compte,tu te casses la mine, ça ronge même tes songes
t en plonges dans une marée noire de désespoir, en bonne poire
on te fait tourner en manége, vla la foire
c'st le pompon, des enfoirés rapaces
cherchant qu à nous fléchir dans l impasse
comme quoi y a pas que des petasses qui peuvent nous baiser
mais aussi des ostards cravattes, dont certains assermentés
on voudrait que j embrasse notre constitution; hors de question
elle deviend un abcdaire de lois à la con, celles de notre institution en dérivation
des bases effondrées, suffoquant d ére totalitaire, plus rien de clair ,
y a pas à dire, on nage vers la galére, je m en aspire poussiére
on cherche les canot de survie
afin de nous diriger vers l ile du paradis
mais bon, on a pas un radis, ça fait ramer
un desir de trouver l essence ds la décense, pour avancer
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