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en elle,un besoin d être rassurée
dans des bras, veut être protégée
qu on l empêche de basculer dans le terne
afin de ne pas sombrer dans la folie moderne

l homme, depuis un moment, elle en a entamé sa découverte
y en a plus d un, avec qui elle refusa l exploration, jambes ouvertes
elle ne laissera pas sa chair se vendre aux enchéres
elle a grandi avec des valeurs, qu elle conservera, quite à déplaire

tout le monde lui dit de se méfier, comme si elle ne savait pas se gérer
elle ne demande qu à profiter , sans être jugée ni viser d excés
elle cherche a ce qu on lui attrappe sa main
qu on la dirige vers de plus beaux lendemains

des erreurs, elle en a fait, ça faut l avouer
 ce sont des expériences nécessaires pour évoluer
en roue libre, elle désire tourner
sans être freinée ni détournée comme une tasspé

c est pas une saint, mais derriére ses seins y a un coeur
celui ci bat d une chamade pressée d oublier les douleurs
plus elle murit, plus elle pense qu il faut etre aimé pour exister
pas pour autant, qu avec le premier trou du cul, elle se laissera trouer

avec beaucoup, elle a des soucis de communication
des problémes d'émission et réception,
les quiproquons s'enchainent à répétition
les ragots de même, loin d apporter du bon

depuis toujours, elle évite de se prendre en main avec des sex toys
elle trouvéça plus jouissif avec des mecs classés bad boys
des gens ne se fondant pas dans le moule, lui aérant les pensées
des êtres qui ont un vécu et une histoire à partager


elle se sent rejetée par cette dite normalité
blasée,elle en perd le nord et l attrait
d un trait, aimerait beaucoup de choses tracer
sans poudre, par la came, n'accepte pas de se faire piquer

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dans mes yeux, des larmes
dans mes oreilles, du vacarme
ça fait un moment que j en ai mare
bientôt je me jetterai du plongeoir

ce sera loin d'un saut de l'ange
en tout cas me casser me démange
me réveiller en pleine nature me manque
j préfére la simplicité à un gros compte en banque

je me prétends pas hippie, juste je veux être happy
m'aérer les idées, réapprendre à savourer la vie
sans chichi ni maquillage, à la roots évoluer
un autre quotidien, je l ai rêvé, à présent le veux voir exister

cette vie, je veux la croquer, sans me casser une dent
retrouver les valeurs et arômes oubliés avec le temps
la société actuelle me désespére, j y trouve pas de repéres, je me perds
les arbres sont tout cassés, comme mon âme, mouillés par l'amére

trop de cons gelés en sentiment, se mentant
l'inhumanité nous cimente, désespérant
la population se perd dans les détours
le seul reméde, c est l amour

si ta priorité c est la tune, tu te goures,
aux mélodies de la joie, tu resteras sourd
avec le respect, on peut gagner des paix
une arme plus puissante qu une épée

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j' admire le ciel, dans sa couleur sauvage
m' offrir ses reflets de douceurs sur mon visage.
caressant du doigt, la joue humide d' un nuage,
il pleut sur mes yeux et mes pupilles naufragent.

des sensations où mes prières d' un autre age,v me giflent d' un sourire outrage,
d' avoir graver sur mon cœur de pierre, cette image.
o si rebelle enfant,je me sens nu devant la beauté de la nature.
comme si l' Éternel dans l' un de ses murmures,

avait brisé de la force de sa voix, les murs
qui recouvrait mon regard d' un fin voile obscur.
Ma plume trempant dans un flacon de mercure,
ne mesurait la splendeur que par son allure.

Ô pardon! Tendres muses. d' avoir offert à mes illusions dévorantes
votre décolleté, vos courbes innocentes.
à mes mots négligés et ma plume ignorante,
accordez vos effluves et qu' ils les ressentent

comme si l' éternité d' une démarche errante,
tombait d' une nuit où les étoiles s' absentent.
Ô sombres couloirs du temps,m'envoyant tel du bétail à la foire
ceux que mes mots traversaient plein de désespoir et de déboires

Je ne marcherai plus dans votre lumière noire,
ce feu qui enflamme mes doigts, scintille ce soir.
mes vers seront de bels astres qui dans le noir,
brilleront comme un éclat de verre et d' espoir

sur la joue sombre d' un anonyme trottoir.
alors j' écris vite avant qu' il ne soit trop tard,
que ma plume évite le manque d' encre noir.
et assoiffée ne se remette ainsi à boire

un ptit bout de femme
dans la vie, elle rame
les galéres, elle a connu
pour avancer, s est bougée le cul

bouffer des pattes fut son quotidien
des fois dormir dehors sur de l herbe ou du foin
pour celle, c'était la seule solution
celle pour se séparer de son compagnon

en couple trop jeune, elle l a vite vue changer
d abord attentionné, il la dorlotait, semblait l aimer
puis ,la routine s est installée, de plus en plus il l oubliait
faire sa boniche et son videsperme, c est à ça que son rôle se résumait

hier, pour une fois, elle s est exprimée, ellene pouvait plus dans le silence rester
elle lui expliqua qu elle en avait mare de ne plus être considérée, réfléchissait à divorcer
elle commença à pleurer, lui s approcha de sa femme, puis la frappa
le lendemain au réveil, dés qu il tourna le dos, elle s'échappa et le quitta

elle a encore peur de penser à celui avec qui elle devait faire sa vie
cet être ignoble la considérant comme du bétail, accumulant sur elle les délits
elle a tout perdu, pas grave, l essentiel est qu elle ait gardé son honneur
sa liberté retrouvée, sa destinée peut enfin s aiguiller vers plus de bonheur

il est à avec sa compagne, sa bouteille
toujours un oeuil sur elle, la surveille
sa vie, il la noie dans ses godets
pour lui, le ver de trop, n est jmais le dernier

au réveil, il s en décapsule une
sa potion, pour au réveil, ne pas être taciturne
il marche pas droit, en mode trop faya
dans son cerveau, il plonge en fracas

tel un poisson, sans liquide, il ne peut survivre
plus il se retourne la tête, plus il a l impression que ça le délivre
en queue de poisson, il risque à tout moment l accident
le foie qui claque, ou bien même le coeur, subitement

bonne cruche, il reste toujours ouvert au ver proposé
question de politesse, l'amenant souvent dans des états décomposés
il sait que de l alcool il est dépendant, ça le gonfle, lui comme son bidon
à son gout,l essentiel c est d boire ses picons biére, pas grave si ça le rend

vie d alcoolique pleine de hic mettant en colique
comme sous perfu, elle lui procure pas que des effets magiques
elle est, comme le péché, bandante, donnant envie d etre convoitée
il rit car il y a de l'anisé, dans l anis ça le fait glisser

des fois il se dit qui il a pouussé le bouchon un peu loin
que son amante, à chaque gorgée l'approche du mot fin
dans l'alambic il se nique, s y fermente et s y enferme
autrefois corsé comme un café, à présent il n est plus qu un reste de créme