bande de pseudo révolutionnaire, vous me faites chier
vous êtes pour la plupart, des gens betes dirigés
les syndicats vous carottent, et vous vous suivez
et aprés vs osez béler , bande de cons testés

la politique vous nique, mais vs auriez du vous y intéresser
c est elle qui va, notre existence, gérer
le systéme pue du cul, c est clair, à s enfoncer, j avoue
il représente, moi plus toi, et noue, sans que j m y voue

les bergers font de la laine sur notre dos
résistons et battons nous avec esprit pour sortir du chaos
il se révéle nécéssaire de réapprendre a vivre avec le sourire
notre génération est au abois, il faut qu on la délivre

battons nous de maniére réfléchie
pas comme des moutons suivant par dépit
face à une manif, les crs peuvent charger
mais si on se posait pour communiquer, là seraient biaisés

la paix est nécessaire, pour cela faudra la guerre
apprendre à respirer un nouvel air
j en peux plus de cette existence
je veux du bonheur qui danse

je fais parti de ce qu on appelle la marge
le conformisme m emprisonne en cage
ai les crocs, a en décapsuler des kro
à nos dirigeants, j tirerai pas mon chapeau

je vais te parler de la femme
jusque là rien d infame
j te préviens d avance, si tu me trouves cru, dsl
mais c est le seul cru, que j ai à te proposer

La femme est un joyau, le plus beau des cadeaux de cette terre
un diamant, qui par son éclat à la vie, permet de ne pas se baigner dans l amére
certains ont rien compris, et la prennent pour un simple steak a consommer vite fait
ils la chopent et la retournent dans tous les sens sans respect

pour profiter de sa splendeur, il faut savoir controler ses ardeurs
délicatement la sortir de son écrin, pour lui donner toute sa valeur
prend la avec tendresse, pas comme de la viande,cajole la, , donne lui, vise son plaisir
ainsi plus belle la relation sera, fais la rire, fais la gémir, fais lui plaisir, fais la jouir

mais....calmos, prend ton temps, pense pas qu à la tirer vite fait
ou ca tombera dans une routine à chier, et ca perdra de son attrait
dirige tes carresses pour lui plaire, toi comme elle en tireras un bien fou,
modére ta vitesse, ralentis, réaccélére, pour son orgasme aller
jusqu au bout

levrette, brouette, missionnaire, cuni,. ... pour toi, comme pour elle varie les galipettes
et tu verras le bien être et la jouissance apparaitre, à te faire tourner la tete
surtout n oublie pas la femme est pas un objet qu on prend et jette
mais une beauté merveilleuse qu il faut que tu respectes

.
violée, souillée, humiliée, par des hommes qui l'ont pas épargné
elle se retrouve à présent face à une sexualité perturbée
le sexe masculin, lui fait peur, ça la désespére
pourtant en elle, résident toujours des désirs de chair

a besoin de se sentir vibrer, de trembler, de jouir
parfois seule dans son coin, elle se fait gémir
gode au poignet, elle prend son plaisir en main
s'autosatisfait ainsi réguliérement , avec doigté et entrain

aime se carresser le corps, montant sa chaleur et ses tétons
les jambes écartées au plaisir, la peau en sexepression
avant elle avait honte quand elle s abandonnait sous ses draps
à présent, ne s'en gêne plus car il n y a pas de mal à ça

elle se pince les lêvres de ses agitations clytoridiennes
ça la vide en jouissance , loin de ses peines
un orgasme qui la transmute en spasmes d élicieux
malgrés tout elle sait qu à deux ce serait mieux

combats toutes les dépendances
t en reléveras ton existence dans l intense
cesse ta tise réguliére
tu t y noies et y galéres

aspire pas de chimique
d un trait ça nique
surtout refuse tout taquet
ça t aiguillerait vers le piqué

abuse pas de la clope, elle te tue
et smoke pas de ganja avec abus
évite toute addiction , t en seras plus fort
ça soulagera ton âme et ton corps

y a plus d un grand malade
légumé par des salades
la drogue ne t enverra pas dans l evasion
plutot dans la démence, voir l'incarcération

roots for ever, luttant contre babylon qui écoeure
c est là que rayonne mon humeur
le simple est cité et recherché
la nature, l amour et la femme, pour m emporter

je souris, je suis heureux
ça emmerde des envieux
a croire que le bonheur est il interdit
ça en géne, pourtant je m y lie

mes pensées sont pleines de bouquet
dans le naturel, j les fais pousser
que m est donc t il arrivé?
suis je fou, défoncé?

non, plutot conscient je dirai
conscient des plaisirs a portée
je regarde derriére les nuages
y a du soleil qui nage

a l horizon des oiseaux chantent
j en oublie les religieuses qui mentent
sans me curer le nez, j inhale la simplicité
mes vers à terre ne se laisseront pas alterner

le terne, l ai rejeté à la mer derriére la jetée en projeté
comme cette foutue idée de croire que le plaisir pourait s acheter
les sourires remplacent les sourirs
j en frémis comme mes désirs

cette existence je l aime y a pas a chier
sans me priver ni public la consommerai
que les cons se cassent de ma vie ou les assomerai
en sonnets résonnant, à en déraisonner

personne ne fléchira ma raie
ou je m arquerai en albalétrier
merci de m avoir mis sur terre
et surtout de réussir a surfer hors de l'amer