vivre seul, ou à deux
une question, et un choix pernicieux
partager son existence pour payer moins de factures, éviter la dépression
savoir où se vider la bourse, y a inflation et éjaculation

ça semble ếtre ça , la vie de couple, pour beaucoup
la crise est éco n' homme, ça me donne envie de prendre mes jambes au cou
routine minable dans laquelle trop vivent, ça se trompe, ça se ment, et ça se prétend franc
enfin on est plus au franc, on est passé aux euros, et être heureux n a pas de prix heureusement

des rêves de naturel et simplicité , sans chaines ni trop de contraintes, ça je préfére
pas envie de me faire ferrer, pour que je sens qu on me ment, sentiment à coup de faux , ça desespére
tout ce bordel de cérémonie chez les normaux, puis hors public c est coups dans la gueule sans pitié
leur bonheur n est que paraitre, même au pieu ils baisent plus, ils communiquent plus, leur abc de l amour s est dcd

un corps de rêve attirant l oeuil
loin de mettre la sensualité en deuil
les désirs en divaguent en marée
comme envie de m accrocher à ses bouées

une piste de plaisir esquise pour surfer
sans houle, mais avec remous cadencé
prendre cas de sa chair, la déguster
une petite siréne pouvant faire nager

ne pas face à ce mirage, fermer les volets
des bonnets loin d être ânes, plutot formés c
m inspirant une envie de les abaisser et tétonner
volupté sans vis, clouant vers le péché

trop d gosses esclave
ça me met en rage
surexploitation, vla l abomination
victimes d oppression

leur vie c est la guerre
tirés comme des munitions, vla la galére
ils pleurent pas, ils assurent, comme des grands
pour ramener à bouffer, oublient d être enfants

dans les mines, ils s enterrent
dans les décharges, ils errent et récupérent
pas de quoi s en bidonner, triste réalité
dans leur bidon ville ,se font cartonner

on cause des droits de l enfance
c est bien beau mais ça stoppe pas l'indécense
on sait pas tout ce qui se passe, beaucoup est tu
et ça en tue,leur vie est une plaie, emplie de pu

ai rien du gentil mouton tout aimable
en moi, j ai de la rage plein la malle
mes mots je les prends comme un canif
plantant ce qui vague hors récif

trop de non dits et d incompris
on nous prend pour des cons, sans répit
barriérés tels des arriérés
pour un rien, on nous met

peuple dé..mi fa sol
explosant tel un aérosol
ma prose s en décompose
et comme un con, je pose

il erre tel un chien sans collier
pas de maitre, pour venir l alimenter
la liberté, il l a reçue aprés l avoir tant réclamé
il se rend alors compte, qu il doit se démerder

à présent, il a la dale, et rien à grailler
auparavant, il n a connu qu une vie d assisté
aujourd hui, il n a pa le choix, doit se démerder
il a rejeté sa meute, pour avancer

être rebelle, il pensait ça aussi simple que faire le beau
mais bon, faut aussi savoir s assumer, pas toujours gateau
ne pas juste se lamenter sur son sort de  chien battu
il se la joue molosse, mais grogne yorkshire pouri gaté de pu

plus de chef de meute, ni d autres chiens pour le protéger
il a dans le temps tant promis au chenil, qu il l ont renié
chien de la casse  d apparrence, mais en réalité tout cassé
sa liberté n est qu illusion,il n arrive pas à la brancher