• dans la vie, y en a de toutes les couleurs

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    dans la vie, y en a de toutes les couleurs
    des bons moments, comme des douleurs
    des souvenirs passés, qu on ne veut plus repasser
    d'autres au contraire, à répétition, on aimerait les visualiser

    l'existence est pleine de repeat, des fois je cherche le bouton stop
    mon ton de mouton boue,...,braquée au carrefour,la déraison résonne et chope
    j'entends les basses qui tabassent la masse et la crasse
    les gens bons, s'en font rentrer en matiére grasse

    pris en couenne, comme des cons, loin des mages, la majorité larsenne
    le lard coule, comme la haine, sans art ni scéne, c'est rengaine
    les arbres s'en déracinent, à se péter la souche et sous couche
    des cruches mouillant d'infâme, nous douchent

    zero classe, à déclasser pour éviter l'invendu avec ou sans vent du
    trop bonnes qu'à se la péter, montant pas plus haut que leur cul
    un pet de travers, et ces travers de porcs dans le string déportent
    rongé jusqu a l os, par un pouvoir voulant nous écraser tels des cloportes, on se clot des portes

    les blattes errent pendant que l'inhumanité déblaterre
    on se fait bien avoir dans la chanson, puis dans l'air
    on tente d'écraser le cafard, retrouver la clairvoyance d'un phare
    on ricoche, dans la mare..au diable, en évitant les cauchemards

    nos songes nous rongent...souris pas, car les rats content pas
    pas à pas, dans un trait ils trouent le gruyere...on s'alligne au trépas
    pris en souriciére,on tente de passer les barreaux, sortir de cage
    avec cette optique dans l'objectif,sans négatif, on se revéle prêt, à tourner plus d une page

    pas toujours sage, mes passages plument et allument
    des pas encrant de la force d'une enclume qui écument
    mes écrits bronzent hors du rang, pour ne pas qu ils s'enrhument
    face à eux dans les prés..jugés, les cons.promis s'en fument

    des fumiers qu on poste au compost pour pas s'en infecter
    à mettre avec les déchets qu on ne pourra pas recycler
    le cycle de l'existence s'en pédale et déraille
    des railleries comme des connes rient, aie aie aie

    c'est le monde de la maille, plein de canaille, pires que des missiles rafale
    pour des écus, ton cul peut se faire vendre par un morfale
    la mort,j l'entends trop causer, pas pressé de la croiser, chez elle ça caille sévére
    j préfére de l'amour et de la joie afin d'inspirer mes vers, et sortir de l hiver

    je me mets la tête à l'envers en vers, je contre tout
    la poésie de ma peau hésite pas, pas de tu tu, mais elle s y voue
    si ,être heureux se révéle être un crime, je me livre comme condamné
    con damné par cet univers des sous, ou on oublie d'aimer


  • Commentaires

    1
    lyuchka
    Mercredi 23 Mars 2011 à 11:06
    souriez !! c'est la vie
    putain, les métaphores en effervescence, de forts symboles m'écrasent la tête en cymbales,ça me fore l'âme qui jouit!!
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    2
    lyuchka
    Mercredi 23 Mars 2011 à 11:07
    souriez !! c\'est la vie
    putain, les métaphores en effervescence, de forts symboles m\'écrasent la tête en cymbales,ça me fore l\'âme qui jouit!!
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