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slam ceci, slam cela,j l entends trop pour rien
on place ce mot partout, car ça fait bien
le grand truc malade; par ses cd,a lancé la déviance
mettant la définition du slam en errance
tu craches de la rime sur de la sik, et tu te dis slameur
oui oui, c est bien, j ai envie de te dire, si ça réjouit ton humeur
montre ton cul, et ouvre tes fesses, ça attirera du monde
c est un peu l habitude, quand on voit les putes sur les ondes
ondule ton corps aussi , mets un slim, hésite pas
telle une salope s affichant pour que d elle, on fasse cas
sur ta carte d identité, je crois qu il n y a pas écrit french français
alors pourquoi sur tes vers t essayes de foutre un label étranger
marque i suck the beat, le people ça va l exiter
dans ce monde de vendu, ça te fera acheter
si un jour, t as un restaurant, invite moi pas s il te plait
sinon, tu risques de me proposer du porc dans ton menu végétarien
et pour ceux qui me disent ouais mais le mot slam a évolué
je leur répondrai, ouais ouais couillon, tu me fais rigoler
y a le dub poetry, et spoken word qui définissent deja la poésie musicalisée
perso moi je suis un poête , et cette appelation , je ne vais pas la renier
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en lybie, c est pas drole, triste farandole
y a la guerre, et ceci,uniquement pour du pétrole
nos dirigeants craignent un manque d essence
ils carburent, sans gêne, avec un plein d indécense
le profit en cheval de bataille
c est une des pires canailles
ça femelle pas, mais fait mal, aie aie aie
une fois de plus, on combat pour la maille
rien que pour de l économique
des pays se niquent
des enfants de la patrie sont envoyés
chez lucifer, ils risquent de se faire gazer
pfff, trop bidon et baril
des rages ,à bas-résillent
les hydrocarbures continuent leur hausse, mastoc
pour..je ne sais qu elle raison, car on a encore du stock
des relans me plaquent-dégout, ça décaroche
toujours les mêmes coupables visant remplir leurs poches
n ont rien de picsou de bande dessinés
une bande de voleurs costumés, triste réalité
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j écris et je bois du vin,donc je suis ecrivain
mais ce qui me rend ivre c est les vers luisant
pas de ver..solitaire à gratter, mais du puritain
je crache sur eux mon dédain
c est pas ma vie que je vous poétise ici
mais celle des personages rentrant dans la peau des autres
dans la vie, je ne suis pas un saint, mais j ai un coeur ici
c est lui qui envoie un boom boom explosif contre tous ces fax apotres
ces gens se prétendant humanitaire
ne cessant, par sournoisie, de faire des tunes sur le dos de la misére
ces institutions censées nous protéger, tentant de nous la foutre à l envers
ces pouris qui déblatérent, et mériteraient d être telles des blates , écrasées par terre
je vise rarement écrire du tout beau, et ma danse valsera jamais l odieux
le conventionnel, les régles, rien à battre, en rime je préféére les combattre
c est pas pour autant que j ai ni morale, ni valeurs, même si j ai pas de dieu
en lui, je ne crois pas, mais je crois ce que je vois, plein de raclures méritant de cramer dans l artre
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t'es au courant que les légumes,ça ne pousse pas qu au supermarché?
et que manger de la viande trop souvent n a rien de bon pour la santé?
au lieu de cotiser pour le bio..man, équilbre ton alimentation
ça le fera pour ton assiette budgétaire,sois pas un con de la consommation
manger bien, apporte plein d apports à ton corps, c est même essentiel
en plus ça coute moins cher que du tout préparé , empli d artificiel
ton corps, c est comme une voiture, faut l entretenir
si tu lui injectes du mauvais carburant, la route il ne va pas tenir
si t ambitionnes ressembler à un ballon, continue comme ça
mais t étonnes pas du score final, contre la graisse tu perdras
certains croient à la solution miracle, va s y allume un cierge
trop de baratin au bain marie qui huile pas vierge
bientot en france, on poura faire des combats de sumo
ça kilo..drame et nous noie en vers de sale eau
tout t épluché patate, on s'effritte l alimentaire
putin, ça donne" pas faim, aseptisant dans l amére
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il est à avec sa compagne, sa bouteille
toujours un oeuil sur elle, la surveille
sa vie, il la noie dans ses godets
pour lui, le ver de trop, n est jmais le dernier
au réveil, il s en décapsule une
sa potion, pour au réveil, ne pas être taciturne
il marche pas droit, en mode trop faya
dans son cerveau, il plonge en fracas
tel un poisson, sans liquide, il ne peut survivre
plus il se retourne la tête, plus il a l impression que ça le délivre
en queue de poisson, il risque à tout moment l accident
le foie qui claque, ou bien même le coeur, subitement
bonne cruche, il reste toujours ouvert au ver proposé
question de politesse, l'amenant souvent dans des états décomposés
il sait que de l alcool il est dépendant, ça le gonfle, lui comme son bidon
à son gout,l essentiel c est d boire ses picons biére, pas grave si ça le rend
vie d alcoolique pleine de hic mettant en colique
comme sous perfu, elle lui procure pas que des effets magiques
elle est, comme le péché, bandante, donnant envie d etre convoitée
il rit car il y a de l'anisé, dans l anis ça le fait glisser
des fois il se dit qui il a pouussé le bouchon un peu loin
que son amante, à chaque gorgée l'approche du mot fin
dans l'alambic il se nique, s y fermente et s y enferme
autrefois corsé comme un café, à présent il n est plus qu un reste de créme
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